Terminus Elicius - Karine Giebel

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Résumé :
Istres-Marseille. Pour Jeanne, la vie est ponctuée par cet aller-retour ferroviaire quotidien entre son travail de gratte-papier au commissariat et la maison de sa mère. Elle attend néanmoins qu'un événement vienne secouer le fil de son existence: un regard, enfin, du capitaine Esposito ? La résolution, peut-être, de cette affaire de serial killer qui défraie la chronique phocéenne ? "Vous êtes si belle, Jeanne Si touchante et si belle." Ce soir-là, une lettre, glissée entre deux banquettes, semble combler toutes ses espérances. Un peu trop, même. Car derrière le mystérieux soupirant se cache le meurtrier tant recherché par la police. Commence alors une correspondance amoureuse qui, pour Jeanne, n'aura de terminus qu'au bout de l'enfer...

J'ai bien aimé le personnage de Jeanne,
si peu sûre d'elle, complexée et parano, timide à l'extrême
mais qui cache une souffrance immense,
un mal être, des crises, qui ne peuvent être endiguées que "par les médicaments du tube vert"
quelque chose qui ferait dormir 24 heures n'importe qui d'autre...
ses petites manies, vérifer toutes les 5 minutes si son sac est bien fermé, s'assoir toujours à la même place dans le train
jusqu'au jour où dans ce fameux train elle trouve les lettres d'Elicius...
lettres d'amour d'un assassin...